
Ce jeudi, le Bureau Exécutif National (BEN) du Syndicat Autonome des Médecins, Pharmaciens et Chirurgiens-Dentistes du Sénégal (SAMES) a tenu une réunion d’évaluation de la grève, élargie aux secrétaires généraux de zones et de sections. Le BEN a félicité ses membres pour leur mobilisation et le respect total du mot d’ordre de grève de la semaine en cours. Il a également informé de la rencontre tenue le mardi 18 février 2025 avec une délégation du Ministère de la Fonction Publique et de la Transformation du Secteur Public.
À l’issue de cette réunion, le SAMES a indiqué qu’« aucune proposition concrète n’a été formulée concernant les questions soulevées dans leur plateforme revendicative ». Le syndicat a également rappelé que leurs interlocuteurs les ont une fois de plus renvoyés vers le Premier Ministre.
Le SAMES estime que cette situation témoigne de l’inertie du gouvernement face à leurs revendications. Par conséquent, le BEN a décidé de poursuivre son plan d’action et a décrété un mot d’ordre de grève générale de 48 heures, avec un strict respect des services d’urgence, sur toute l’étendue du territoire national les mercredi 26 et jeudi 27 février 2025.
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- Écrit par : Awa Diallo
Le 4 février, Mame Diarra Kébé, présidente de l'association « Cancer du Sein Sénégal », a attiré l’attention des autorités lors de la célébration de la journée mondiale contre le cancer, en soulignant qu'il y a quatre appareils de radiothérapie au Sénégal, mais qu’un seul fonctionne.
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- Écrit par : Vieux Laye Diallo

Le cancer du sein est un problème de santé publique courant à l’échelle mondiale.
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- Écrit par : Awa Diallo

Son choix de jouer pour le Sénégal, la dernière CAN en Côte d'Ivoire, le départ d'Aliou Cissé, ses ambitions avec les Lions...Tels sont les points clés abordés par l'international sénégalais, Pape Gueye dans un entretien accordé à Footmercato.
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- Écrit par : Awa Diallo

Le jeudi 30 janvier marque la Journée mondiale des maladies tropicales négligées, ces maladies comme la lèpre ou la dengue, qui touchent principalement les populations les plus pauvres dans des zones reculées du monde.
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- Écrit par : Awa Diallo

L’alliance And Gueusseum a annoncé hier, jeudi, dans un communiqué la levée totale du mot d’ordre de rétention des données sanitaires et sociales. Non sans manquer de réitérer aux autorités publiques tous les contours de sa plateforme revendicative.
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- Écrit par : Awa Diallo

Âgé de 21 ans, Amadou Mbaye a été envoyé en prison en 2023 dans des circonstances opaques. Accusé de viols sur ses deux demi-soeurs par sa tante maternelle qui vit en France, en complicité avec sa copine, Amadou a été cueilli dans son école par des policiers alors qu'il devait faire le baccalauréat. Une arrestation qui a surpris tous les membres de sa famille.
Selon la tante d'Amadou, l'une des présumées victimes a avoué que leur frère ne les a rien fait. Selon elle, toute cette histoire a été manigancée par leur mère (la tante de Amadou qui vit en France) et sa copine, qui les ont contraint de mentir. La raison, selon la jeune femme, c'est que cette histoire de viols leur aurait facilité l'obtention d'une autorisation pour rejoindre leur mère en France.
Une thèse du complot étayée par les examens médicaux, qui ne montrent aucune trace de viol. Pour sa part, Amadou Mbaye devra comparaître le 4 février.
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- Écrit par : Vieux Laye Diallo

Un jeune homme de 25 ans a été retrouvé pendu dans sa chambre, à Grand-Yoff, la semaine dernière.
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- Écrit par : Awa Diallo

Dans la nuit de samedi à dimanche, l’hôtel Riu Baobab, situé à Pointe Sarène sur la Petite-Côte, a été la cible d’une attaque à main armée.
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- Écrit par : Awa Diallo

Les causes de la mort de l’enfant de trois ans retrouvé mort dans une fosse au village de Koussan, dans le département de Goudiry sont connues. L’enquête aboutit à un aveu glaçant : le beau-père du petit garçon a confié avoir commis le crime.
Selon Libération qui retrace les faits, les gendarmes de Bakel, chargés de l’enquête, ont interpellé le beau-père de la victime comme principal suspect. Placé en garde à vue, ce dernier a fini par avouer avoir étranglé l’enfant avant de jeter son corps dans une fosse.
Interrogé sur ses motivations, le présumé meurtrier a évoqué un conflit personnel avec son épouse. À en croire ses déclarations rapportées par le journal, il aurait agi par vengeance, accusant sa femme de lui avoir caché qu’elle était déjà enceinte de l’enfant, suite à un viol, au moment où il l’avait épousée.
Pour rappel, c’est samedi 4 janvier, que le corps sans vie d’un enfant de trois ans a été découvert dans une fosse septique située au sein de école élémentaire de Koussan. D’après les renseignements fournis par ses parents, le petit garçon avait disparu, le même jour, vers 17 heures.
L’enquête suit son cours.
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- Écrit par : Awa Diallo